mardi 18 janvier 2011

Francisco Collado Martín 3ºESO B




L'hiver magique

Je viens à peine d’ouvrir mes yeux,
Je découvre un paysage merveilleux,
En toile de fond, un joli coin de ciel,
Tout paraît devenir vite irréel.

Est-ce la plus belle de toutes les apparitions ?
Que je découvre au bout de l’horizon ?
J’entrevois une dame en habit de dimanche,
Qui sème une belle neige toute blanche !

Je regarde les flocons tourbillonner,
Pour doucement venir sur la terre se poser,
Combien de temps, en fait resteront-ils ?
Le temps de quelques rêves bien futiles.

Oh ! mystère la dame s’approche de moi,
Devant ma fenêtre, il neige pour moi,
Mais ce n’est plus de la neige blanche,
Elle m’offre de l’amour en revanche.

Je suis extrêmement étonnée par elle,
Je la vois si près de moi, presque réelle,
Suis-je donc vraiment en train de rêver ?
La neige est là, devant moi à se transformer.

Imaginez, de jolis bonhommes de neige,
L’un d’eux fait même des arpèges,
Sur un instrument que je ne connais pas,
L’un d’eux s’approche alors de moi.

Non, cela est impensable, il m’invite,
A la valse de la neige qui m’évite,
Nous dansons une valse a mille flocons,
Ne le dites pas, je suis devenue un flocon.

Michèle R.

1 commentaire:

  1. Salut Charo.

    Je crois que la poésie de Fran est prope de cette époque de l'année et de cette saison. Je te propose une poésie de Victor Hugo appelée "Sultan Achmet". Cette poésie est tres belle, mais sourtout, elle est historique. La poésie est sur le Sultan Achmet qui est amoreux. Il va donner tout par son amoreuse, Juana la grenadine. Mais Juana, le dis qu'il doit se transformer au Christianisme, sa religion.

    Sultan Achmet
    Victor Hugo (1802 -1885)

    A Juana la grenadine,
    Qui toujours chante et badine,
    Sultan Achmet dit un jour :
    - Je donnerais sans retour
    Mon royaume pour Médine,
    Médine pour ton amour.

    - Fais-toi chrétien, roi sublime !
    Car il est illégitime,
    Le plaisir qu'on a cherché
    Aux bras d'un turc débauché.
    J'aurais peur de faire un crime.
    C'est bien assez du péché.

    - Par ces perles dont la chaîne
    Rehausse, ô ma souveraine,
    Ton cou blanc comme le lait,
    Je ferai ce qui te plaît,
    Si tu veux bien que je prenne
    Ton collier pour chapelet.


    C'est tout.
    Curro Manzano. Troisième ESO B.

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